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L'incroyable épopée de Facebook : The Social Network

The Social Network est un film de David Fincher, sorti en 2010, qui raconte la création de Facebook, sa fulgurante ascension, et la vie de son fondateur, Mark Zuckerberg.

Un biopic* instructif

Mark Zuckerberg est un jeune développeur de talent d'Harvard, devenu célèbre grâce à son site Facemash, puis par la suite avec The Facebook. Mais son succès ne lui sera pas que bénéfique : entre disputes avec ses colocataires et combats judiciaires pour les droits d'auteurs de son réseau social, sa vie ne sera pas de tout repos.

Mark Zuckerberg

Guillaume Paumier CC - BY

Fiche Technique

Date de Sortie : 13 octobre 2010 (France)

Durée : 120 minutes

Acteurs Principaux:

Jesse Eisenberg – Mark Zuckerberg

Andrew Garfield – Eduardo Saverin

Justin Timberlake – Sean Parker

Réalisateur : David Fincher

Scénario : Aaron Sorkin

Récompenses Notables : 3 Oscars et 4 Golden Globes

Pourquoi le voir ?

Ce film retrace avec réalisme l'histoire de Facebook. Il est joué par de très bons acteurs comme Jesse Eisenberg, qui montre la complexité du personnage de Mark Zuckerberg et la pression qui repose sur ses épaules de jeune étudiant.

Malgré une durée de deux heures qui pourrait repousser quelques personnes, je n'ai personnellement pas vu le temps passer avec ce film. C'est pourquoi je le recommande à n'importe quel lecteur de cet article, bien qu'il soit sorti il y a maintenant six ans.

*Biopic: Film biographique sur la vie d'une personne réelle

Gabin

Stranger Things : une odyssée parallèle

Stranger Things
Stranger Things, c’est ainsi que s’intitule la nouvelle série US, lancée par le célèbre forum de streaming Netflix*, qui a fait chavirer les adolescents comme les adultes en cet été 2016.

Une pépite interdimensionnelle

Bref aperçu de cette série : troublé par la mystérieuse disparition de leur ami et compagnon de jeu, un groupe de collégiens intellos, intrépides et amateurs de jeux de rôles fantastiques, se lancent à sa recherche et s’octroient en route l’aide d’une jeune fille aux pouvoirs télékinésiques, qui les guidera et leur révélera l’existence de phénomènes effrayants qui pèsent sur la petite ville de l’Indiana, où ils résident.

Une série addictive

Dès le premier épisode, diffusé pour la première fois le 15 juillet 2016, le décor extravagant et acidulé des eighties est planté, l'intrigue est saisissante, à défaut d'être originale, et nous plonge dans le monde parallèle des réalisateurs. Le scénario est captivant et nous projette dans une ambiance mélodramatique souvent rattrapée par le thriller et on se rend compte que des phénomènes anormaux voir paranormaux dominent la continuité de la série. Dès les débuts, les protagonistes sont inévitablement identifiables mais aussi originaux et attachants, parfois froussards mais sans (trop) d'exagérations. Stranger Things nous offre une mise en scène soignée, des acteurs surprenants tels que Millie Bobby Brown (actrice de mon personnage préféré : Eleven), David Harbour, et d'autres presque horripilants comme Winona Ryder qui incarne une mère hystérique, bouleversée par la perte de son enfant.

Une série polémique

"Les clins d'œil et les clonages sont à leur paroxysme, les références prolifèrent de manière indigeste et la soit disant « quête » de la nostalgie des réalisateurs n'est qu'un prétexte pour excuser leur manque de créativité.. " Voici le bref aspect de l'avis des internautes et journalistes visiblement contre cette transposition nostalgique jugée banale.

Certes, on remarque que les réalisateurs n'ont pas réellement usé de leur imagination à la réalisation de cette série et que les films cultes de la science-fiction ont été épluchés et décortiqués avec exubérance par leur soin afin d'en agrémenter leur propre œuvre.

Mais tel en était leur objectif : réaliser habilement une reconstitution historique nostalgique en rendant hommage aux films qui ont bercé leur enfance ;  c'est d'ailleurs cet hommage qui m’a  fait chavirer !

Source : Le Monde

Source : Pure Break Musique  

Lowtrucks CC-BY - SA

Une série aux références multiples

En effet, les réalisateurs de Stranger Things, aussi communément appelés "Duffer", redonnent vie aux classiques poussiéreux de la science-fiction en nous déballant un déluge de références cinématographiques propres à ce genre (E.T., les Goonies, Dead Zone, Shining... ) mais peut-on vraiment dire qu'ils en font trop ? Voilà la question sur laquelle les internautes se font une joie d'entamer un débat.

Et bien non, les Duffer sont des « archéologues » qui fouillent et décèlent les vestiges du passé, notamment dans le domaine cinématographique comme référencé précédemment mais aussi dans le domaine littéraire (Le Seigneur des anneaux) et dans le domaine musical grâce à la bande son qui nous embarque dans les  décennies des années 80-90 réservées aux grands groupes tels que "The Clash", "The Bangles" ou encore Joy Division.

Lexique :

 

Télékinésie : Faculté paranormale de pouvoir déplacer un objet par la pensée.

 

Netflix : plateforme américaine de streaming proposant une multitude de séries et de films que l'on peut visionner sans limite grâce à l'abonnement mensuel qu'elle propose à tout utilisateur.

Mathilde

Parlons séries

 Parlons séries

Dans cet article, nous allons vous présenter quelques séries que nous vous conseillons de regarder. La première s'appelle Black Mirror et la seconde se nomme Mr Robot.

Deux séries passionnantes par leur univers

Les deux séries nous plongent dans un univers technologique. Black Mirror est une série britannique de science-fiction, du genre dramatique et satirique, diffusée sur France 4 en 2014. Tous les épisodes ont des acteurs et des lieux différents mais nous montrent tous un futur proche très envahi par les nouvelles technologies.  Cette série montre donc les conséquences de l'utilisation des technologies sur notre société. Le titre de la série fait référence à l'écran noir de la télévision, de l'ordinateur, de la tablette ou du téléphone qui nous entourent dans notre quotidien.

 

Mr Robot a été diffusé sur France 2 en octobre 2016. L'action se situe à New York et présente Elliot, un jeune programmeur antisocial souffrant d'un trouble du comportement et de dépression chronique. Il est ingénieur en cyber-sécurité le jour et hacker* justicier la nuit. Il doit faire un choix lorsque le mystérieux chef d'un groupe de hackers le recrute pour détruire la société qu'il est censé protéger. Que va-t-il faire ?

Strolic Furlan, David Gabino CC-BY-ND

Mr Robot

Black Mirror

BagoGames CC-BY

Pourquoi les regarder ?

Nous vous conseillons ces séries car toutes les deux nous font réfléchir sur notre société actuelle. Black Mirror nous fait principalement voir à quel point les technologies peuvent nous absorber. Elle montre une réalité de notre génération : certains sont dépendants d'Internet. Chaque épisode se finit généralement sur une chute qui nous laisse sans voix.

 

Mr Robot est une série très originale car les personnages sont complexes, la série nous entraîne dans les troubles mentaux du personnage principal et nous fait tourner la tête. Rationnel et irrationnel se mêlent et s'entremêlent. Le spectateur émet des hypothèses qu'il doit vérifier, il est convié à participer au jeu intellectuel. Seriez-vous capable de résoudre l'énigme de cette série ?

*Un hacker a autrefois été une personne qui cherche la compréhension du fonctionnement des systèmes, ordinateurs et réseaux informatiques mais aujourd'hui se réfère à un pirate informatique.

Chloé D. & Célia L.

Dribbles et drogues

Dribble et drogue
Étant grande fan de notre cher Leonardo DiCaprio, après avoir adoré ses performances dans "Gilbert Grape, Le loup de Wall Street" et dans "Shutter Island", j’ai enfin décidé de visionner "The Basketball Diaries" sorti en 1995. Ayant regardé plusieurs fois la bande annonce, cette adaptation du journal de Jim Caroll me donnait l'envie de le voir tout en ayant des appréhensions. Perturbée par une telle descente au enfer, celle des "junky", allais-je m’en sortir indemne ou au contraire déçue ?

Quelques informations sur le film

C’est l’adaptation cinématographique du roman « The Basketball Diaries » écrit par Jim Caroll dans les années 70. C’est son autobiographie. Grâce à la performance de Leonardo DiCaprio on peut facilement cerner la personnalité de Jim Caroll adolescent, un enfant rongé par l’addiction, torturé par l’innocence de l’adolescence et l’imminence d’une vie d’adulte. C’est un passionné de basket qui est un fabuleux poète tiraillé par ses pensées.

Un chef d’œuvre ?

 Je n’irai pas juste que là. J’ai finalement apprécié le film, surtout je pense grâce à l’émotion dégagée par les acteurs en général. On peut ressentir toute la détresse de  Jim et sa mère notamment dans la scène de la porte qui est incroyablement touchante et horrible, détresse accentuée par un jeu très maîtrisé. Ce n’est pas le scénario, qui m’a vraiment pris aux tripes, mais plutôt toutes ces scènes incroyablement jouées à tel point que l'on peut se demander si les acteurs n’avaient pas réellement pris de la drogue.

En clair, "The Basketball diaries" est un bon film (7/10) qui fait partie du mouvement des films sur les ados torturés des années 90/2000 (comme "The Virgins Suicide" sortie en 1999 ou bien « Requiem for a dream » sortie en 2000). Comme on le dit si bien dans la bande annonce : « Dans l’histoire vraie de la mort de l’innocence et la naissance d’un artiste» 

Néreïs

Jim Caroll

David Shankbone CC BY-SA

Ballerina

Ballerina
Ballerina : Un film musical qui fait rêver petit et grand.

Pendant les vacances de noël, je suis allé au cinéma avec une amie et ma sœur pour aller voir un super film qui s’appelle Ballerina qui est en partenariat avec L’Opéra National de Paris.

 

Un film d'animation sur la danse

Ce film d’animation se passe dans les années 1880 et raconte l’histoire de Félicie une jeune orpheline quimpéroise qui rêve de devenir danseuse étoile à l’Opéra National de Paris et de son amis Victor qui lui rêve de devenir un grand inventeur. Ensemble ils mettent en place un plan rocambolesque pour s’enfuir de l’orphelinat et réaliser leur rêve dans la capitale.

Arrivée à Paris, les deux enfants se séparent. Victor trouve un emploi dans les bureaux de Gustave Eiffel tandis que Félicie est recueillie par une femme de ménage, se nommant Odette, qui travaille à l’opéra et pour Mme Régine Le Haut (la méchante de l’histoire). Pour entrer à L’opéra comme petit rat Félicie va prendre le nom de Camille Le Haut. Pendant ses cours de danse, Félicie va tenter d’avoir le rôle de Clara dans Casse-Noisette et danser avec Rosita Mauri. Mais, démasquée, Félicie repart à l’orphelinat de Quimper...

Un film "réaliste"

Le film a été réalisé pendant plusieurs années par Eric summer et Eric Warin, par l’atelier animation et Aurélie Dupont et Jérémie Bélingard, danseurs étoile à l’Opéra National de Paris. Ces derniers  ont participé à la réalisation des chorégraphies du film. Dans le film, j’ai vu que des célèbres monuments et ballets du 19ème siècle était "reconstitués".

Avec mes amis et ma sœur on a trouvé que c’était un super film que l’histoire était vraiment belle et le thème est bien choisi pour un enfant « De jamais renoncer à ses rêves ».

POUR MIEUX SE REPÉRER...

Rosita Mauri (1849-1923) : Danseuse et pédagogue espagnol

Louis Alexandre Mérante (1828-1887) : Danseur étoile d’origine italienne et maître de Ballet français

Gustave Eiffel (1832-1923) : Grand Inventeur du 19ème siècle qui donna son nom à la Tour Eiffel. Il construisit le squelette de fer de la statue de la liberté et beaucoup d’autres monuments dans le monde.

La statue de la Liberté : Monument construit pour l’indépendance Américaine par Auguste Bartholdi et Gustave Eiffel.

La Tour Eiffel : Monument français qui fût construit  pour l’exposition universelle de 1889 pour le centenaire de la révolution française.

Casse-Noisette : Ballet russe composé par Piotr LLITCH Tchaïkovski inspiré d’un livret de Théophile Gautier « Histoire d’un Casse-noisette »

Le palais du Trocadéro : Monument construit pour l’exposition universelle de 1878.

Attention spoiler ;)

 

Mais, elle part de nouveau à Paris car le gardien de l’orphelinat l’emmène à l’opéra grâce à ses amis des petits rats, Victor et Odette. Félicie réussit finalement à réaliser son rêve et obtient le rôle de Clara dans Casse-noisette et danse avec Rosita Mauri.

CCO

CCO

Florentin

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